Les matous de l'Ombre ont trouvé une vieille cave, accessible de l'extérieur, qui leur plaisait bien de par sa chaleur et sa difficulté à être repérée. Ils y ont installé leur camp, et les chatons, ravis, voient en l'escalier qui monte jusqu'à la maison désertée une super aire de jeu. Quelques fois, les matous vont se promener dans le logement vide au dessus de leur tête, mais l'absence de meubles est très déconcertante.

Des tunnels parcourant la ville, tout comme les égouts. Assez sombres et humides, ils constituent de bonnes cachettes, et sont source de gibier tels que des rongeurs, en particulier des rats. Attention lors de votre chasse de ne pas tomber sur un rat malade !

C'est une rue plutôt sombre, avec à son entrée l'arche de pierre. Immense, majestueuse, elle fut taillée dans le plus solide des granits. Décorée de gargouilles, perchées sur son sommet, elle garde aussi divers dessins retraçant la vie des habitants de la ville, à une lointaine époque. On remarquera aussi des écritures, tracées dans ce qui semble être du latin. Sublime, les matous du clan de l'ombre l'adorent car sa mysticité les attire.

Ce pont traversait autrefois le fleuve séparant la rive. Il aurait pu être splendide, et devait l'être sûrement dans des temps anciens. Il demeure envahi par les plantes, et constitue un grand perchoir pour divers volatiles. Maintenant détruit, il n'y a qu'un seul accès pour accéder sur l'autre rive : le pont du clan de la Rivière. L'herbe ayant tapissé les alentours, les mentors y emmènent souvent leur apprenti pour apprendre le combat sans risquer de se blesser.

La bande d'asphalte serpentant à travers le lotissement est toute usée par les anciens passages. Sur les maisons subsistent encore quelques touches de peinture, tandis que les tuiles des demeures se sont, elles, envolées. Les ronces envahissant les jardins grimpent sur les palissades, les épines agrippent le bois vermoulu, comme pour vouloir éviter les intrusions, comme pour protéger cet endroit empli de mystère.